dimanche 22 mai 2011

Le temple se relève de ses cendres

Dans Esdras 3.10 on nous dit : Lorsque les ouvriers posèrent les fondements du temple de l’Éternel, on fit assister les sacrificateurs en costume, avec les trompettes, et les Lévites avec des cymbales, afin qu’ils célèbrent l’Éternel, d’après les ordonnances de David, roi d’Israël. 12 Mais plusieurs des sacrificateurs et des Lévites, et des chefs de famille âgés, qui avaient vu la première maison, pleuraient à grand bruit pendant qu’on posait sous leurs yeux les fondements de cette maison. Beaucoup d’autres faisaient éclater leur joie par des cris dont le son s’entendait au loin, de sorte qu’on ne pouvait distinguer le bruit des cris de joie d’avec le bruit des pleurs parmi le peuple.


C’est dommage que l’homme se rendre compte de ce qu’il avait, seulement lorsqu’il l’a perdu. Ceux qui pleuraient, se rappelaient leur désobéissance envers l’Éternel et les années passées loin de leur Dieu. Les plus jeunes eux, étaient heureux d’être délivrés de l’esclavage du roi de Babylon, ce qui les amènerait à connaitre le Dieu de leur père. Surement que les plus vieux, leur avait parlé, comment c’était au temps ou la maison de l’Éternel était vivante et que le peuple suivait les ordonnances de l’Éternel leur Dieu et de toutes les bénédictions que l’Éternel leur accordait. En bout de ligne, le peuple chantait, célébrant et louant l’Éternel par ces paroles : Car il est bon, car sa miséricorde pour Israël dure à toujours! Et tout le peuple poussait de grands cris de joie en célébrant l’Éternel, parce qu’on posait les fondements de la maison de l’Éternel. Un air de cantique me revient : À la maison près de mon frère, à la maison, à la maison. Merci mon Dieu pour votre patience envers moi.