Quel camp choisir ?

Si quelqu'un entend mes paroles et ne les garde point, ce n'est pas moi qui le juge; car je suis venu non pour juger le monde, mais pour sauver le monde. Celui qui me rejette et qui ne reçoit pas mes paroles a son juge; la parole que j'ai annoncée, c'est elle qui le jugera au dernier jour. (Jean 12:47-48). ( Bien sur c'est Jésus qui parle dans ce texte biblique de l'Évangile de Jean. Lors de sa première venue sur la terre, Jésus n'avait pas pour objectif de juger les hommes, mais de leur montrer le chemin du salut et de la vie éternelle. Lorsqu'il reviendra, l'une de ses principales missions sera de juger les hommes en fonction de la vie qu'ils auront menée. Les paroles de Jésus que nous n'acceptons pas aujourd'hui nous condamneront à ce moment-là. Lors du jugement, ceux qui auront accueilli Christ et qui auront vécu comme il le souhaite ressusciteront pour la vie éternelle (Apo 21:1-7). Mais ceux qui l'auront rejeté et qui auront vécu selon leurs propres désirs seront passibles du jugement éternel (Apo 20:11-15). Alors c'est sans tarder qu'il nous faut choisir notre camp, car les conséquences de cette décision sont éternelles. L'homme est libre au point qu'il peut librement déterminer sa condition pour l'éternité. Dieu ne s'impose pas aux hommes. Il ne les force pas à venir à lui. Il veut qu'ils choisissent librement de venir à lui et de l'aimer. Les preuves abondent pour l'homme qui cherche sincèrement. Mais celui dont le désir n'est pas sincère refusera de les examiner. Vous allez peut-être dire Dieu ne pouvait-il pas empêcher l'homme de pécher? Oui, en lui enlevant la liberté. Aime-t-il son élève le professeur qui lui donne la solution du problème pour lui éviter des erreurs? Aime-t-elle son bébé la mère qui refuse de lui apprendre à marcher de peur qu'il ne tombe? Dieu aimerait-il l'homme s'il lui enlevait la possibilité de choisir, de vivre, d'aimer librement? Alors tout cela pour dire que tu es libre de refuser le pardon que Dieu offre en Jésus- Christ, mais tu ne seras pas libre de refuser le châtiment de cet affront.