Bonjour, Aujourd’hui le 30 Juin 2011, Texte tiré de la lecture du jour, Psaumes 94 verset 1 à15.
Verset 1 : Dieu des vengeances, Éternel, Dieu des vengeances, révèle-toi! V2 : Lève-toi, juge de la terre, paie aux orgueilleux le salaire qu’ils méritent! V3 : Jusqu’à quand les méchants, Éternel, jusqu’à quand les méchants vont-ils triompher? V4 : Ils fanfaronnent, ils parlent avec arrogance, tous ceux qui commettent l’injustice se vantent. V5 : Éternel, ils écrasent ton peuple, ils humilient ton héritage, V6 : ils égorgent la veuve et l’étranger, ils assassinent les orphelins, V7 :et ils disent :L’Éternel ne le voit pas. Le Dieu de Jacob n’y fait pas attention. V8 : Faites attention, idiot? Hommes stupides, quand ferez-vous preuve de bon sens? V9 : Celui qui a fixé l’oreille n’entendrait-il pas? Celui qui a formé l’œil ne verrait-il pas? V10 : Celui qui corrige les nations ne punirait-il pas, lui qui enseigne à l’homme la connaissance? V11 :L’Éternel connaît les pensées de l’homme : il sait qu’elles sont sans valeur. V12 : Heureux l’homme que tu corriges, Éternel, et que tu enseignes, par ta loi, V13 : pour lui donner de la tranquillité quand vient le malheur, tandis que la tombe est creusée pour le méchant! V14 : L’Éternel ne délaisse pas son peuple, il n’abandonne pas son héritage; V15 car on rendra de nouveau un jugement juste, et tous ceux dont le cœur est droit s’y conformeront.
Réflexion : Dieu préservera son peuple du jugement réservé aux méchants; puisqu’il est saint et juste, nous pouvons être sûrs que ce n’est pas le mal qui l’emportera. Le verset 12 et 13 nous enseigne que; Dieu doit parfois nous corriger pour nous aider, tout comme un père aimant,discipline son enfant parce qu’il est essentiel de lui enseigner à distinguer le bien du mal. La Bible ne prétend pas qu’une telle correction soit agréable, mais elle indique qu’elle porte du fruit (Hé12 v 11). Sentons-nous la main correctrice de Dieu? Acceptons-la comme une preuve de son amour, comme un appel à marcher dans ses voies au lieu de persister à suivre notre propre chemin. Je crois que la grande faute des hommes, c’est de croire que Dieu n’est pas nécessaire à leur bonheur. Les tourments qui, à la mort, affligent les pécheurs, n’affligent pas les saints.
Qui l’emportera : celui qui se confie en l’Éternel, par notre Seigneur Jésus-Christ étant enraciné et fondé dans son amour.
Que Dieu nous bénisse, Salut! Frère Serge.