Oh! que ne puis-je être comme aux mois du passé, Comme aux jours où Dieu me gardait, (Jb 29. 2 )
Job est passé de la prospérité à la disette, dans tout les sens du mot, il était dans l'abondance et maintenant il a tout perdu et il ne comprend pas. Chaque jour suffit sa peine. Souvent on esaie de comprendre ce qui nous arrive, il ne devrais pas en être ainsi, on devrait plutôt accepter ce qui nous arrive, car on sait bien que Dieu nous aime et c'est toujours pour notre bien. Prions Dieu pour que nous acceptions ce qui nous arrive.