Si un homme mange involontairement d'une chose sainte, il donnera au sacrificateur la valeur de la chose sainte, en y ajoutant un cinquième. (Lv 22. 14 )
Les choses saintes appartiennent aux sacrificateurs, c'est la part qui leur revient de la part de l'Éternel pour le travail qu'ils accomplissent dans le sanctuaire. La loi dit que si quelqu'un du peuple mange involontairement une chose sainte, cette action est traitée comme on traite un vol, il devra rembourser la valeur de la chose sainte au sacrificateur et y ajouter un cinquième, on ne vole pas Dieu.