Vendredi, le 04-10-13. Matthieu 12.18: Voici mon serviteur que j’ai choisi, Mon bien-aimé en qui mon âme a pris plaisir. Je mettrai mon Esprit sur lui, Et il annoncera la justice aux nations. 19 Il ne contestera point, il ne criera point, Et personne n’entendra sa voix dans les rues. 20 Il ne brisera point le roseau cassé, Et il n’éteindra point le lumignon qui fume, Jusqu’à ce qu’il ait fait triompher la justice. 21 Et les nations espéreront en son nom.
Dieu nous présente ici, celui en qui nous devons espérer, le serviteur que Dieu s'est choisi, celui en qui Dieu prend plaisir, celui qui fera triompher la justice de Dieu, donc celui en qui nous les nations devont mettre notre espérance. L'espérance, c'est d'avoir confiance en quelqu'un, avoir l'espoir que quelque chose se réalisera et le seul qui peut nourrir cette espérance en nous est le Seigneur Jésus. Mon espérance à moi c'est d'être cohéritier de Christ, donc partager son héritage, dans lequel une vie éternelle m'est réservé avec Dieu, son Fils, le Saint-Esprit et chacun de mes frères et soeurs, un lieu céleste ou le mal n'aura pas sa place. Amen!
1 Corinthiens 13.13 nous dit: Maintenant donc ces trois choses demeurent: la foi, l’espérance, la charité.
Gardons cette espérance, afin de demeurer intègre envers Dieu, car elle nous soutient au jour du malheur. Israël avait l'espérance d'un Sauveur, mais ils n'ont pas su le reconnaître, alors nourissons notre âme avec la sagesse de Dieu, donc sa parole et ainsi notre espérance ne sera pas anéantie. Merci pour tout mon Père.
